Mesurer nos progrès pour continuer de changer

Jun 28 / Christiane Haché
Je suis une fan fini de la valorisation des actions. 😏

Le positif est invitant et m'attire comme un aimant.
C’est pourquoi, mesurer mes progrès m’encourage à continuer pour que chacun de mes efforts deviennent une norme au présent.
Faire le point sur les changements permet de constater les transformations positives de nos gestes et de nos actions d'aujourd'hui. Comparons quelques gestes.

Il y a 10 ans, qu’est-ce que je faisais?
1- J’utilisais des sacs de plastique pour emballer mon épicerie.

2- Je buvais de l’eau embouteillée en bouteille individuelle (C’était pratique pour mes déplacements).

3- Il m’arrivait souvent d’acheter des aliments comme les fruits et légumes suremballés (double emballage, styromousse, etc.) parce que ça les protégeaient.
4- Je me questionnais peu sur la provenance de tous mes aliments et de mes achats.
5- J’utilisais les petits sacs de plastique pour mes portions lunch sans souci.

6- Mes déchets alimentaires n’étaient pas toujours recyclés.

Par contre, j’ai toujours adoré faire une partie de mon épicerie directement auprès des producteurs de fruits, de légumes et de produits locaux dès que la saison le permettait.
Les kiosques indépendants, les marchés publics et les vergers sont depuis très longtemps une grande source de joie et de connexion à la terre et ses artisans.🥰

Aujourd’hui, mes habitudes ont changées et je mesure mes progrès en constatant que :
1. Les sacs réutilisables font partie de mon quotidien. Tant pour l’épicerie que pour tous types d’achat (vêtements, pharmacie, fourniture de bureau, etc.)
2. J’ai une tasse réutilisable pour l’eau que je consomme. Terminé les bouteilles de plastique individuelles !
3. Les fruits et légumes que je choisis à l’épicerie sont libres de toute forme d’emballage dans 85% des cas.
4. La grande majorité de mes achats alimentaires et autres biens de consommation sont évalués en fonction de leur provenance la plus rapprochée de mon environnement, local d'abord et j'élargis le cercle de proximité ensuite. (Banane, chocolat et 

Il y a dix ans, qu'est-ce que je faisais?


1- J’utilisais des sacs de plastique pour emballer mon épicerie.

2- Je buvais de l’eau embouteillée en bouteille individuelle (C’était pratique pour mes déplacements).

3- Il m’arrivait souvent d’acheter des aliments comme les fruits et légumes suremballés (double emballage, styromousse, etc.) parce que ça les protégeaient.

4- Je me questionnais peu sur la provenance de tous mes aliments et de mes achats.

5- J’utilisais les petits sacs de plastique pour mes portions lunch sans souci.

6- Mes déchets alimentaires n’étaient pas toujours recyclés.
Par contre, j’ai toujours adoré faire une partie de mon épicerie directement auprès des producteurs de fruits, de légumes et de produits locaux dès que la saison le permettait.

Les kiosques indépendants, les marchés publics et les vergers sont depuis très longtemps une grande source de joie et de connexion à la terre et ses artisans.🥰


Aujourd’hui, mes habitudes ont changées et je mesure mes progrès en constatant que :

1. Les sacs réutilisables font partie de mon quotidien. Tant pour l’épicerie que pour tous types d’achat (vêtements, pharmacie, fourniture de bureau, etc.).

2. J’ai une tasse réutilisable pour l’eau que je consomme. Terminé les bouteilles de plastique individuelles !

3. Les fruits et légumes que je choisis à l’épicerie sont libres de toute forme d’emballage dans 85% des cas.

4. La grande majorité de mes achats alimentaires et autres biens de consommation sont évalués en fonction de leur provenance la plus rapprochée de mon environnement, local d'abord et j'élargis le cercle de proximité ensuite. (Banane, chocolat et café font tout de même encore partie de mes achats) 😉

5. Les petits sacs de plastique ont cédé leur place aux contenants réutilisables.

6. Le recyclage des matières faites de carton, de plastique et de métal ainsi que les résidus alimentaires fait partie de mes gestes quotidiens.

Ce n’est pas parfait, mais c'est amélioré. 🧐

Mon point est que mesurer mes progrès me permet d’en vouloir d’autres. Ça me permet aussi de savoir que l’effort du début d’une nouvelle action dans mon quotidien deviendra vite une habitude.

Quand on parle de transition alimentaire, elle a toujours fait partie du cycle. Aujourd’hui on veut qu’elle soit plus intensive et rapide. Je comprends.

Elle sera aussi rapide que nous voudrons bien changer un geste ou deux dans notre quotidien. Ce que je souligne ici, c’est la capacité à changer nos habitudes même les plus improbables.

Il y a quelques années, on nous parlait de régler nos achats sans argent comptant, que ce serait une norme. Plusieurs d’entre nous rigolaient bien en entendant de tel propos. C’est pourtant bien ancré dans mes habitudes aujourd’hui.

Quels seront mes prochains progrès?
Quelles actions d'aujourd’hui seront transformées en mieux pour la Terre, pour l’humain et l’animal?
Tout est possible. Un geste à la fois.

Et vous, vous avez mesurer vos progrès?
Vous êtes encouragés à continuer? 🏹😊

#environnement #changement
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